Oeuvre de Jean Claracq, Jeune homme et son chien
Oeuvre de Pol Taburet Holy Cruel Engine
Reiffers Art Center
30, rue des Acacias
75017 Paris
Dates
Du 5 au 28 mai 2022
Mardi - Samedi / 11h – 19h

« DES CORPS LIBRES – Une jeune scène française » est la première exposition collective de Reiffers Art Initiatives.

Curatée par Thibaut Wychowanok, membre du comité de Reiffers Art Initiatives, le corpus d’œuvres de l’exposition interroge la représentation et la matérialité fluctuante du corps et célèbre sa diversité, ses luttes et son émancipation contemporaine.

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AVEC LE SOUTIEN DE Gucci

DES CORPS LIBRES
DES CORPS LIBRES
DES CORPS LIBRES
DES CORPS LIBRES
DES CORPS LIBRES
DES CORPS LIBRES
DES CORPS LIBRES
DES CORPS LIBRES
DES CORPS LIBRES
DES CORPS LIBRES
DES CORPS LIBRES
DES CORPS LIBRES
DES CORPS LIBRES
DES CORPS LIBRES
L’exposition est une invitation à explorer la possibilité d’un corps, singulier ou universel, qu’il soit évanescent, fantasmatique, digital, ancré dans notre monde actuel, science-fictionnel ou utopique. Du corps-objet au corps-sujet, du corps figuré à la trace d’un corps, du corps rêvé au corps avatar numérique, il s’agit non seulement d’écrire le corps sans censure, mais d’offrir la possibilité de lui porter un nouveau regard, en toute liberté.
Vue de l'exposition

DES CORPS LIBRES
Kenny Dunkan et Ymane Chabi-Gara

Vue de l'exposition

DES CORPS LIBRES
Villard&Brossard et Chalisée Naamani

Vue de l'exposition

DES CORPS LIBRES
Salomé Chatriot et Pol Taburet

"Rêvé, sexualisé, furieux, suggéré, vulnérable, hybride, fantasmé, fluide, puissant, trahi, révolté, spectral ou solitaire. L’exposition explore les différents états d’un corps comme épicentre des affects et du rapport au monde..."
Changeant et irréductible, le corps est informé et transformé par ses relations avec son environnement autant que par celui qui le regarde. Écrire un corps, l’inscrire dans une oeuvre formelle, appelle à la levée de tous les censures. C’est-à-dire non seulement à s’interdire tout interdit – le corps ne peut faire autrement que s’écouter, mais plus encore à déconstruire ses représentations et ses perceptions normatives, sociales et historiques. Un corps libre n’est pas un corps affranchi de tout, mais un corps conscient et pensant ce tout (son état, son histoire et son contexte).
Écrire l’exposition revient aussi à lever toutes les censures, et donc à inviter au plaisir et à l’exaltation du corps au-delà de la question morale, en acceptant de se confronter à ses ambiguïtés, à sa volonté de puissance, ses fragilités, ses perversités, ses révoltes, sa sensualité et ses trahisons. Le corps y sera parfois figuré, embrassant la question de sa représentation et de ses identités : quel type de corps représente-t-on ? dans quel contexte ? avec quel regard ? Le corps y sera aussi mutant puisqu’aucune loi ne s’applique à son écriture. Déconstruit, il peut se reconstruire, se fantasmer ou s’auto-générer au-delà des catégories humaines, technologiques, animales ou végétales. Sa matérialité pourra revêtir toutes les formes d’hybridation. Le corps y sera parfois spectral, souvent fluide, ou simplement présent à travers ses traces et les objets qui lui sont liés et qui expriment d’autant plus fortement son rapport au monde."
— Thibaut Wychowanok
Vue de l'exposition

DES CORPS LIBRES
Manon Wertenbroek

Vue de l'exposition

DES CORPS LIBRES
Valentin Ranger

Vue de l'exposition

DES CORPS LIBRES
Sara Sadik et Jean Claracq

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